La vigne est belle, cette année. Elle nous montre, une fois de plus, à quel point elle est capable de résilience. Un hiver doux, un débourrement précoce et derrière des gelées au mois d’avril, qui réduisent à néant tous les efforts qu’elle a fait pour sortir de sa dormance, autant de réserves et énergie gaspillées. Il a fallu qu’elle retrouve quelques ressources, quelques sucres pour repartir. Mais la météo ne l’a, une fois de plus, pas aidée avec des températures très fraîches pendant plusieurs semaines. La chaleur est revenue, de l’eau dans les sols, et la vigne est repartie avec une fougue insoupçonnée. La coulure sur la floraison nous rappelle que la vigne a souffert, mais elle nous donne une fois de plus, une belle leçon de vie. Elle se donne les moyens de faire de belles mises en réserve pour le millésime 2022, que l’on souhaite un peu plus paisible.
La vigne est belle, cette année. Elle nous montre, une fois de plus, à quel point elle est capable de résilience. Un hiver doux, un débourrement précoce et derrière des gelées au mois d’avril, qui réduisent à néant tous les efforts qu’elle a fait pour sortir de sa dormance, autant de réserves et énergie gaspillées. Il a fallu qu’elle retrouve quelques ressources, quelques sucres pour repartir. Mais la météo ne l’a, une fois de plus, pas aidée avec des températures très fraîches pendant plusieurs semaines. La chaleur est revenue, de l’eau dans les sols, et la vigne est repartie avec une fougue insoupçonnée. La coulure sur la floraison nous rappelle que la vigne a souffert, mais elle nous donne une fois de plus, une belle leçon de vie. Elle se donne les moyens de faire de belles mises en réserve pour le millésime 2022, que l’on souhaite un peu plus paisible.