Cette brève issue d’un journal et relayée sur les réseaux sociaux, pose la question du coût de l’agriculture biologique. L’agriculture d’après guerre n’a eu de cesse que d’augmenter sa productivité. On ne peut pas contester l’efficacité des phytos utilisés en agriculture conventionnelle. Mais à quel prix ? La Bio a un coût, mais il nous semble que c’est un coût indispensable pour la préservation des écosystèmes, pour maintenir les terres en vie, notamment en maintenant des taux acceptables de matière organique dans les sols. La route va être longue pour faire changer les consciences et sortir d’un système qui nourrit notre société en puisant dans les réserves au détriment des générations futures.
Cette brève issue d’un journal et relayée sur les réseaux sociaux, pose la question du coût de l’agriculture biologique.
L’agriculture d’après guerre n’a eu de cesse que d’augmenter sa productivité. On ne peut pas contester l’efficacité des phytos utilisés en agriculture conventionnelle.
Mais à quel prix ?
La Bio a un coût, mais il nous semble que c’est un coût indispensable pour la préservation des écosystèmes, pour maintenir les terres en vie, notamment en maintenant des taux acceptables de matière organique dans les sols.
La route va être longue pour faire changer les consciences et sortir d’un système qui nourrit notre société en puisant dans les réserves au détriment des générations futures.
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