Nicolas Despagne nous faisait goûter ce week-end à la Fondation Goodplanet (de Yann Arthus-Bertrand) son vinum simplex. Mais pas si simple que cela en fait car il est issu de l’assemblage de 3 millésimes différents (1/3 de 2013, 1/3 de 2015 et 1/3 de 2017). Étonnant mariage de fraîcheur et de maturité, une façon de lutter contre le réchauffement climatique et les aléas de climats si difficiles à gérer pour le vigneron.
Nicolas Despagne nous faisait goûter ce week-end à la Fondation Goodplanet (de Yann Arthus-Bertrand) son vinum simplex.
Mais pas si simple que cela en fait car il est issu de l’assemblage de 3 millésimes différents (1/3 de 2013, 1/3 de 2015 et 1/3 de 2017).
Étonnant mariage de fraîcheur et de maturité, une façon de lutter contre le réchauffement climatique et les aléas de climats si difficiles à gérer pour le vigneron.
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