Cette année, rien ne presse. Nos vendanges continuent. On a rentré la semaine dernière nos dernières parcelles du merlot. Des merlots concentrés, riches en couleur, avec une maturité relativement homogène entre parcelles. Les degrés sont là aussi avec des lots entre 13,5 et 14,5. C’est le millésime qui veut cela. Il a fallu attendre pour que les maturités phénoliques soient au rendez vous. Cette semaine, on ne va pas se presser. Les conditions météo sont favorables à maintenir un parfait état sanitaire de la vendange. On vendange jeudi le Mancin et le Bouchalès. Ils sont prêts tous les deux. Le Bouchalès est exceptionnel cette année. C’est un cépage difficile à mûrir, qui conserve traditionnellement des acidités très marquées. On a cette année réussi à le pousser un peu plus loin que d’habitude. L’acidité est toujours là mais va être équilibrée par le degré (un peu en dessous de 13 degrés). C’est un cépage essentiel à l’équilibre de notre cuvée Comme en 1900. Le Mancin confirme de son côté son potentiel. On le recolte tôt cette année (d’habitude en même temps que le Cabernet-Sauvignon), mais là où d’autres cépages ont bloqué cette année, il a parfaitement profité de cette année solaire. Les peaux sont mûres, et colorent nos doigts d’une belle couleur violine. Les baies sont délicieuses et les analyses nous confirment le potentiel : des degrés autour de 13,5 pour un pH de 3,35. Hâte de vinifier ces deux cépages et de vous proposer prochainement de très belles surprises.
Cette année, rien ne presse. Nos vendanges continuent. On a rentré la semaine dernière nos dernières parcelles du merlot. Des merlots concentrés, riches en couleur, avec une maturité relativement homogène entre parcelles. Les degrés sont là aussi avec des lots entre 13,5 et 14,5. C’est le millésime qui veut cela. Il a fallu attendre pour que les maturités phénoliques soient au rendez vous. Cette semaine, on ne va pas se presser. Les conditions météo sont favorables à maintenir un parfait état sanitaire de la vendange. On vendange jeudi le Mancin et le Bouchalès. Ils sont prêts tous les deux. Le Bouchalès est exceptionnel cette année. C’est un cépage difficile à mûrir, qui conserve traditionnellement des acidités très marquées. On a cette année réussi à le pousser un peu plus loin que d’habitude. L’acidité est toujours là mais va être équilibrée par le degré (un peu en dessous de 13 degrés). C’est un cépage essentiel à l’équilibre de notre cuvée Comme en 1900. Le Mancin confirme de son côté son potentiel. On le recolte tôt cette année (d’habitude en même temps que le Cabernet-Sauvignon), mais là où d’autres cépages ont bloqué cette année, il a parfaitement profité de cette année solaire. Les peaux sont mûres, et colorent nos doigts d’une belle couleur violine. Les baies sont délicieuses et les analyses nous confirment le potentiel : des degrés autour de 13,5 pour un pH de 3,35. Hâte de vinifier ces deux cépages et de vous proposer prochainement de très belles surprises.