Extrait de l’inventaire cadastral (1964) des cépages plantés sur notre commune de Saint-Pierre de Mons. 1/ Premier constat : nous avons de grands terroirs à blancs et les anciens ne s’y trompait pas. Notre commune pouvait d’ailleurs, avant les années 30, revendiquer l’appellation Sauternes. 2/ le merlot et cabernet n’étaient que peu présents et laissait la place à nombre de cépages locaux : Bouchalès, jurançon noir, saint-macaire (ici sous le nom de moustouzere), pardotte... Tout cela nous confirme que nous sommes dans la bonne démarche : revenir à nos origines, aux raisons qui ont fait que les anciens ont adopté des cépages. Et comprendre lesquels ont un avenir dans le contexte du réchauffement climatique !
Extrait de l’inventaire cadastral (1964) des cépages plantés sur notre commune de Saint-Pierre de Mons. 1/ Premier constat : nous avons de grands terroirs à blancs et les anciens ne s’y trompait pas. Notre commune pouvait d’ailleurs, avant les années 30, revendiquer l’appellation Sauternes. 2/ le merlot et cabernet n’étaient que peu présents et laissait la place à nombre de cépages locaux : Bouchalès, jurançon noir, saint-macaire (ici sous le nom de moustouzere), pardotte... Tout cela nous confirme que nous sommes dans la bonne démarche : revenir à nos origines, aux raisons qui ont fait que les anciens ont adopté des cépages. Et comprendre lesquels ont un avenir dans le contexte du réchauffement climatique !