Lecture de vacances. Cela fait quelques semaines que j’ai ce livre sur ma table de chevet. J’ai beaucoup de mal à l’ouvrir. Parce qu’il raconte l’histoire de Laure Gasparotto, née-vigneronne, qui a jeté l’éponge après 4 années passées à la vigne, dans les Terrasses du Larzac. Pas facile de lire cette histoire pour le néo-vigneron que je suis, également écartelé entre ma famille parisienne et mes vignes girondines. Laure nous raconte, sans fard, son installation, ses soutiens, ses échecs, ses joies, le temps pour soigner la vigne, le temps pour faire le vin, le temps pour le vendre. Au final, une très belle aventure, au bout d’elle même. Un magnifique témoignage de vie qui, loin de nous décourager, nous donne envie d’aller encore plus loin dans notre aventure. Elle écrit qu’il faut dix ans pour qu’un domaine commence à gagner de l’argent. On ne peut que reconnaître qu’elle a raison et on a déjà fait la moitié du chemin à Cazebonne, depuis 2017.
Lecture de vacances. Cela fait quelques semaines que j’ai ce livre sur ma table de chevet. J’ai beaucoup de mal à l’ouvrir. Parce qu’il raconte l’histoire de Laure Gasparotto, née-vigneronne, qui a jeté l’éponge après 4 années passées à la vigne, dans les Terrasses du Larzac. Pas facile de lire cette histoire pour le néo-vigneron que je suis, également écartelé entre ma famille parisienne et mes vignes girondines. Laure nous raconte, sans fard, son installation, ses soutiens, ses échecs, ses joies, le temps pour soigner la vigne, le temps pour faire le vin, le temps pour le vendre. Au final, une très belle aventure, au bout d’elle même. Un magnifique témoignage de vie qui, loin de nous décourager, nous donne envie d’aller encore plus loin dans notre aventure. Elle écrit qu’il faut dix ans pour qu’un domaine commence à gagner de l’argent. On ne peut que reconnaître qu’elle a raison et on a déjà fait la moitié du chemin à Cazebonne, depuis 2017.