Le travail d’Alain Breuille autour du pêcher nous a donné envie de tester les semis de raisins. Alain Breuille, depuis 40 ans, fait des recherches autour des variétés oubliées de pêches, brugnons, pavies... Il ne greffe rien. Tout part du semis, du noyau. Ici il a placé des noyaux pour l’hiver dans du terreau humide. Après l’hiver, il placera ses noyaux en serre pour qu’ils poussent. Ils observent de ses semis une variété génétique infinie qui lui réserve de belles surprises. Pourquoi ne fait on pas de même dans la vigne ? Pourquoi le clone et la greffe a-t-il pris le dessus ? Le chantier n’est pas si simple, mais cela nous donne envie d’essayer. Et on va commencer par se plonger dans la littérature et notamment le travail effectué par Soins de la terre. Le souci est que le semis de pépins est aléatoire, ne donne pas que des plantes fructifères et que ces semis vont donner des résultats variables en terme de qualité. Donc une démarche qui demande beaucoup de temps avec des résultats non garantis.
Le travail d’Alain Breuille autour du pêcher nous a donné envie de tester les semis de raisins.
Alain Breuille, depuis 40 ans, fait des recherches autour des variétés oubliées de pêches, brugnons, pavies...
Il ne greffe rien. Tout part du semis, du noyau. Ici il a placé des noyaux pour l’hiver dans du terreau humide. Après l’hiver, il placera ses noyaux en serre pour qu’ils poussent.
Ils observent de ses semis une variété génétique infinie qui lui réserve de belles surprises.
Pourquoi ne fait on pas de même dans la vigne ? Pourquoi le clone et la greffe a-t-il pris le dessus ?
Le chantier n’est pas si simple, mais cela nous donne envie d’essayer. Et on va commencer par se plonger dans la littérature et notamment le travail effectué par Soins de la terre.
Le souci est que le semis de pépins est aléatoire, ne donne pas que des plantes fructifères et que ces semis vont donner des résultats variables en terme de qualité. Donc une démarche qui demande beaucoup de temps avec des résultats non garantis.
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