Il n’est jamais inutile de bêcher une motte de terre pour vérifier l’état de ses sols. On cherche des sols bien aérés, décompactés, où les racines des adventices vont bien s’enfoncer en profondeur. Pour y parvenir, de la matière organique, le travail des sols, les préparations biodynamiques et d’année en année, le sol s’aère, devient plus friable. Ici, le sol de Christine Dupuy à Madiran lors d’un stage de biodynamie auquel nous avons participé.
Il n’est jamais inutile de bêcher une motte de terre pour vérifier l’état de ses sols. On cherche des sols bien aérés, décompactés, où les racines des adventices vont bien s’enfoncer en profondeur.
Pour y parvenir, de la matière organique, le travail des sols, les préparations biodynamiques et d’année en année, le sol s’aère, devient plus friable.
Ici, le sol de Christine Dupuy à Madiran lors d’un stage de biodynamie auquel nous avons participé.
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