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Le cépage Jurançon noir
Le jurançon noir portait le nom d'enrageat dans nos contrées. Il était très planté dans l'Ebtre-Deux-Mers notamment. On le replante ici et il fera certainement l'objet d'assemblage pour produire un vin de fruit authentique.
Le Jurançon noir mûrit. Un cépage qui a montré cette année sa capacité à bien...
Le Jurançon noir mûrit. Un cépage qui a montré cette année sa capacité à bien résister au gel et aux maladies. Très peu touché par le mildiou, notamment. On comprend pourquoi ce cépage était populaire chez les vignerons autrefois. Un cépage modeste, à redécouvrir !
Le jurançon noir est en pleine forme. Un cépage productif très présent dans nos vignes autrefois. Dans les...
Le jurançon noir est en pleine forme. Un cépage productif très présent dans nos vignes autrefois. Dans les Graves, on parlait de Grand noir, dans l’Entre-Deux-Mers, on le connaissait sous le nom d’Enrageat.
Nicolas Jamin nous parle aujourd'hui du Jurançon noir : ' 'Grappes de taille moyenne, grosse baies, les fruits sont restés...
Nicolas Jamin nous parle aujourd'hui du Jurançon noir : ' 'Grappes de taille moyenne, grosse baies, les fruits sont restés assez aqueux, un peu insipides et manquant d'acidité. Tout indique pour l'instant qu'il s'agit là plutôt d'un cépage productif, peu concentré et peu aromatique.' Le vin en cuve est simple, bon, fruité, avec une bonne acidité. A tester en vinification de rosé.
Recommandation d'encépagement pour le Sud Gironde, pour des sols de sables et alios, par F. Vassilière en 1892....
Recommandation d'encépagement pour le Sud Gironde, pour des sols de sables et alios, par F. Vassilière en 1892. Carménère et Merlot pour les meilleurs terroirs. Pour les autres terroirs, Folle blanche ou Savagnin pour les blancs, Folle rouge (Jurançon noir), Fer et Pignon (Pardotte). A part la folle blanche, nous avons replanté tous ces cépages à Cazebonne. Hâte de les vinifier à partir de cette année.
S'il est encore besoin de démontrer l'extraordinaire diversité de cépages présente dans nos vignes au cours des...
S'il est encore besoin de démontrer l'extraordinaire diversité de cépages présente dans nos vignes au cours des siècles passés ! De 1782 à 1784, l'intendant Nicolas Dupré de Saint-Maur a ordonné une immense enquête pour faire l'inventaire de tous les cépages présents dans le royaume. L'objectif était de fixer la nomenclature pour mieux comprendre les diverses synonymies. Cette enquête était jusqu'à présent stockée aux archives de Bordeaux et de Gironde. Mais ce travail n'avait été digitalisé et rendu public. Une équipe de bénévoles sous la direction de Henri Galinié, s'est attelé à ce travail. L'ensemble des documents sont aujourd'hui disponibles en ligne à l'adresse :
Nous avons reproduit ci-dessous la liste des cépages inventoriés sur Bazas à 16km de notre domaine. On reconnait des noms de cépages que nous avons replanté, mais beaucoup de ces cépages restent aujourd'hui non identifiés ou disparus. On a hâte de goûter l'enrageat, la pardotte (grande ou petite parde ?), la penouille (Pelle aouille), le blanc auba, ... Il est probable aussi que le Petit péjac ou le béquignol que nous avons replanté étaient présents dans cette liste sous un autre nom. Cela nous donne également envie de replanter également du Chaussé. Ce document est à tous points de vue exceptionnel. Les historiens et ampélographes n'ont pas fini leur travail de recherche...