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Retrouvez désormais Cazebonne au Bon Saint-Pourçain. Très fier qu’une nouvelle belle table parisienne nous accorde sa confiance !

On aère les premières vendanges de blanc. L’oxygène que l’on apporte doit permettre aux levures de bien finir la fermentation. On est presque au bout sur cette cuve qui va nous servir à l’assemblage de notre cuvée Entre amis. Une cuvée que l’on pourra vous proposer dès le printemps.

Hier, nous avons vendangé à la main, 358 très belles caisses de merlot. C’est très bon. L’équivalent de 7000 bouteilles qui vont nous servir en assemblage pour notre grand vin ainsi que pour une cuvée Parcellaire, pour laquelle on vous réserve une surprise. A suivre...

Retour sur la dégustation Winefunding de jeudi soir, où nous avons pu vous faire déguster nos vins et vous parler de notre projet. Replanter à Bordeaux l’ensemble des cépages qui ont fait l’histoire de Bordeaux et qui ne sont plus aujourd’hui autorisés dans les appellations : Castets, Mancin, Pardotte, Saint-Macaire, Bouchales... Merci d’être venus si nombreux au cours de la soirée. C’est la dernière ligne droite pour le projet de crowdfunding et de rachat de 7 hectares de vignes de Graves. Il reste quelques places pour boucler le dossier. Si l’aventure vous dit...

Demain Samedi à partir de 16h30, nous aurons le plaisir de venir vous faire déguster notre cuvée Entre amis à la cave Pinard à Viroflay en région parisienne.

Jeannot, le voisin et ancien propriétaire du domaine, est venu nous donner un coup de main pour trier les malbecs sur la table de tri. Sous son œil averti, cette cuvée ne pourra qu’être réussie.

Toujours sympathique quand Nicolas Naigeon, le fondateur de Aveine, aérateur de vin connecté, m’envoie une photo d’une dégustation de Cazebonne avec son aérateur. Encore plus sympathique quand je vois que Cazebonne a été dégusté en compagnie de Maison Blanche et de Scamandre, deux propriétés que l’on apprécie particulièrement.

Aujourd’hui, on vendange le malbec. Une vieille parcelle de 60 ares sur notre plateau de Peyron. Si on rentre 20 hectos, on sera content. On a eu pas mal de millerandage sur cette parcelle comme on le voit sur la photo. Le raisin goûte par contre vraiment très bien, mûr à souhait. On va le vinifier à part et on verra ce que l’on en fait.

Les levures ont besoin d’azote et d’oxygène pour faire leur travail. Les remontages permettent ainsi d’apporter de l’oxygène pour leur bon développement. Cela permet également de mouiller le chapeau et d’éviter que des bactéries indésirables s’y développent. On effectue deux remontages par jour car les fermentations sont maintenant parfaitement lancées sur la première cuve de merlot. Lors de ce remontage on aère bien le jus comme illustré sur la photo.