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Nous replantons ici, l'ensemble des cépages oubliés historiques de Bordeaux,
dans une approche biodynamique, respectueuse du terroir.
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Découvrez ce qu'il se passe dans notre domaine en ce moment !
Réception des étiquettes pour nos grandes cuvées 2019. Mise en bouteille et étiquetage en fin de semaine. 4 ans...
Réception des étiquettes pour nos grandes cuvées 2019. Mise en bouteille et étiquetage en fin de semaine. 4 ans de boulot à Cazebonne pour enfin avoir notre gamme (presque) au complet. Ps. Ce n’est pas un rouge de macération, mais bien un blanc de macération.
Il reste encore quelques grammes de sucre dans la cuvée Parcellaire de Bouché 2020. Les levures finissent ici très...
Il reste encore quelques grammes de sucre dans la cuvée Parcellaire de Bouché 2020. Les levures finissent ici très doucement leur travail. On bâtonne tous les jours pour le redonner un peu de peps.
Une autre époque ! En 1930, les vignerons s’insurgent. Le vignoble, déjà mis à mal par le...
Une autre époque ! En 1930, les vignerons s’insurgent. Le vignoble, déjà mis à mal par le phylloxéra, connaît une mévente de ses vins, concurrencés par la bière et le pastis. Le ministère de l’agriculture décide de lancer une campagne de communication et commande cette affiche à l’illustrateur Leonetto Cappiello. Le slogan "Buvez du vin et vivez joyeux" est depuis resté célèbre. Cette affiche vient d’être rééditée : https://www.lacartedesvins-svp.com/collections/apprentissage/products/affiche-buvez-du-vin-vivez-joyeux Avis aux amateurs !
Vous connaissez la définition de la piquette ? Vous saviez que l’on pouvait faire un contrat à son sujet ? La piquette,...
Vous connaissez la définition de la piquette ? Vous saviez que l’on pouvait faire un contrat à son sujet ? La piquette, c’était un vin que les ouvriers du domaine pouvaient réaliser en remettant les marcs à fermenter, avec adjonction si besoin de quelques sucres. C’était "une repasse" en fait sur les marcs après ècoulage. Cette piquette était "le privilège" (si l'on peut dire) des employés des propriétés viticoles. C’était leur vin de consommation régulière, à la table familiale ou sur leur lieu de travail pour le repas de midi ou le casse-croute. Certains employés viticoles en faisaient commerce (sous le manteau). La consommation journalière d'un maçon était de 5 litres de piquette (De de degré faible : 5-6°). On trouve encore dans les brocantes des cantines tressées de 5 litres. Il faut dire que ce breuvage était vite éliminé. Les gachées de béton ou de mortier se faisaient à la pelle et au triant. Pas de bétonnière, ni élévateur à cette époque. Dans le monde viticole la consommation était à peu près du même ordre. Les taches étaient plus fatigantes que maintenant et les journées beaucoup plus longues. Contrat signé en 1907 par Henry Dufour, proprietaire avec ses ouvriers. Merci à Michel Elie de m’avoir fourni ce document. L’histoire de la vigne et du vin est décidément un sujet passionnant !
David à la manœuvre, pour le remontage de nos cuves de cabernet-sauvignon. Pendant les fermentations, les remontages ont une...
David à la manœuvre, pour le remontage de nos cuves de cabernet-sauvignon. Pendant les fermentations, les remontages ont une triple fonction : - mouiller le chapeau, afin qu’il ne sèche pas et éviter ainsi le développement de bactéries non souhaitées, - apporter de l’oxygène aux levures pour faciliter leur travail de transformation du sucre en alcool, - extraite doucement de la couleur et du tannins des peaux de raisins.